Arthur : Nous, c’est pour vous qu’on dit ça. Parce que si Rome demain, c’est fini. Vous, vous virez clodo.
Caïus : Et alors, qu’est-ce que ça peut vous foutre ? Vous allez me trouver une place ?
Léodagan : Mais parfaitement, on vous met à la tête d’une petite troupe, on vous file un bout de terrain et vous devenez le Seigneur Cabinus !
Arthur : On se fout pas de vous quand même !
Caïus : Ah, mais vous vous rendez pas compte. Je peux pas quitter l’armée de César comme ça…
Arthur : Mais y’a plus d’armée de César. Il reste 2/3 cakes en jupette histoire de marquer le coup mais c’est fini !
Léodagan : Mais admettez le ! Ça vous détendra !
Caïus : J’ai rien à détendre moi. Jamais je ne trahirai. Avé César. Avé César !
[…] Jamais je n’ai subit un affront pareil…
Léodagan : On aurait dû laisser Lancelot vous tailler le gosier, au lieu d’essayer de vous sortir de la purée !
Arthur : Si dans pas longtemps, vous êtes obligés de rentrer à Rome avec vos valoches comme un bouseux, là vous regretterez de ne pas avoir accepter notre offre.
Caïus : Mais j’ai rien à regretter ! La seule chose que je voudrais savoir c’est si dans deux jours, je change d’avis, est-ce que la proposition tient toujours ?