Non parce que, il pète, mais sans discontinuer.

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Répliques
Arthur Guenièvre Tavernier

Guenièvre : Vous êtes là ?
Arthur et le tavernier : Ouais.
Guenièvre : Qu’est-ce que vous faites ? Vous dormez pas ?
Arthur : Bah… Vous non plus.
Guenièvre : C’est-à-dire… Je trouve cette chaleur difficilement supportable.
Tavernier : A 60 dans une remise, il fait chaud, c’est sûr.
Guenièvre : Et puis, il y a une odeur pestilentielle. Je sais pas exactement ce que ça sent…
Arthur : Le pet.
Tavernier : Le pet. Ca sent le pet.
Guenièvre : Mais qu’est-ce qu’ils ont ? Ils sont malades ? Arthur : Non mais… Y’en a qu’un qui pète.
Guenièvre : Mais… L’odeur ne s’en va jamais !
Arthur : Oui.
Tavernier : Non mais parce que…
Arthur : Non, si.
Tavernier : Parce que, bon, il pète mais heu…
Arthur : Oui !
Tavernier : Hein, sans discontinuer
Arthur : voilà, c’est…
Guenière : Sans discontinuer ? Mais c’est affreux !
Tavernier : C’est mieux comme ça.
Arthur : Avec tous les gazes de fermentation qu’il accumule, il est obligé de loufer. Sans ça, il serait parfaitement sphérique.
Tavernier : Et puis on pourrait pas s’approcher de lui avec une bougie, sans risquer de faire sauter la cabane.

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