Bohort (hésitant) : … Père Blaise ?
Léodagan : Non mais vous vous foutez de ma gueule ?
Bohort : Bah, j’sais pas quoi vous dire moi.
Léodagan : Non mais vous êtes bigleux ou quoi ? Le Père Blaise, il a plus un poil sur le cailloux ! Vous reconnaissez pas ma tignasse là ?
Bohort : Oui… Maintenant que vous me le dites… On dirait le Père Blaise avec une tignasse.
Léodagan : Qu’est-ce que vous venez me gonfler avec votre Père Blaise !?
Bohort : Ah, ah si ! J’suis désolé, y’a du Père Blaise ! Surtout dans le sourire.
Arthur : Tiens, c’est vrai ça. Qui c’est qui vous a demandé de sourire comme ça ?
Léodagan : Bah, c’est l’autre con là, avec ses pinceaux…
Arthur : Ben ouais mais bon, moi je crois que c’est là que ça coince.
Bohort : Mais pourquoi est-ce que vous n’avez pas dit au peintre que vous ne souriez jamais ?
Léodagan : Comment ça, je souris jamais ?
Bohort : Bah en tout cas, j’ai pas souvenir.
Arthur : Allez-y, souriez pour voir ? … Pft, ah bah voilà. Non mais cherchez pas, ah non mais je vous assure c’est hyper flippant hein !
Léodagan (énervé) : Qu’est-ce qu’il y a, il vous plait pas mon sourire !?
Arthur : Ah, voilà. Là par contre là c’est vous. Là, je vous reconnais.